Nous vous répondrons rapidement et vous trouverons la meilleure solution pour réaliser votre saut à l’élastique.
Les chemins de fer souhaitant mettre en place une ligne de tramway. Le Mans – Alençon, la construction du viaduc commence en 1912, les travaux sur la ligne devaient se terminer en 1915 mais la guerre
empêcha l’achèvement de la voie.
Les travaux n’ont jamais repris par la suite et aucun tramway n’est donc passé sur le viaduc.
Celui-ci aujourd’hui est l’occasion d’une agréable promenade et l’on peut y pratiquer le saut à l’élastique.
Le Viaduc de Saint Georges le Gaultier (72 130) près du Mans (dans la Sarthe).
Ce pont traverse la rivière appelée la Vaudelle. Le site de saut à l’élastique le plus proche de Paris.
Les réservations se font uniquement par téléphone (06.73.99.13.36) :
• d’Avril à Octobre ouvert tous les week-ends.
• de Novembre à Mars ouvert le 1er week-end de chaque mois.
Ouvert 7 jours sur 7 toute l’année pour les groupes supérieurs à 15 sauteurs.
Pas de tenue particulière. Pas besoin de certificat médical
Le 13 juillet 1908, la construction de huit lignes constituant le troisième réseau des tramways est déclarée d’utilité publique (270 kilomètres dont 68 non achevés) : Le Mans-Château-du-Loir, Le Grand-Lucé-Saint-Calais, Foulletourte-La Flèche, Fresnay-sur-Sarthe-Sougé-le-Ganelon, La Ferté-Bernard-Montmirail, Antoigné-Saint-Jean-d’Assé, Mamers-Alençon et Le Mans-Alençon par Ségrie (82 kilomètres).
Le Département de la Sarthe prend à sa charge, comme pour les deux premiers réseaux de 1878 et 1894, les travaux de premier établissement et d’infrastructure. Le Compagnie des Tramways de la Sarthe assure les travaux de superstructure et fournit le matériel roulant.
Ce n’est qu’au cours de l’année 1913, date de l’ouverture du premier tronçon (Le Mans- Marigné), que la décision de faire passer la ligne Le Mans-Alençon par le village de Saint-Georges-le-Gaultier est prise.
La voie y enjambera la vallée de la Vaudelle grâce à un viaduc long de 150 mètres.
Pour réaliser le viaduc, l’entreprise Parenteau d’Angers, en charge du chantier, utilise une technique d’avant-garde : le procédé Hennebique.
Ce procédé, élaboré par François Hennebique vers 1890, est basé sur l’utilisation du fer et du béton armé. La structure est soutenue par d’imposantes piles.
Les deux sections extrêmes de la ligne, Alençon-Assé-le-Boisne et Le Mans-Ségrie, passant par le viaduc, furent mises en service respectivement en 1914 et 1915. La guerre interrompit les travaux de jonction.
Les rails, les matériaux et les hommes furent aussitôt réquisitionnés. Malgré le coût important de la construction, l’ouvrage ne fut jamais utilisé pour sa fonction initiale.
Le viaduc, qui ne reçut jamais de rails et ne vit jamais passer de train, sert aujourd’hui de site privilégié pour la pratique du saut à l’élastique.
Le paradoxe de cette construction le fit baptiser le « viaduc du père Ubu ».
Si le goût de l’aventure vous motive au plus haut point, n’hésitez pas à contacter le club grâce aux différents moyens de communication ci-dessous:
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